Diams Voici

La photo de Diam's utilisée pour la Une de Voici cette semaine.

Cette semaine, Diam's fait la Une de . En l'apercevant ce matin, la colère s'est emparée de la chanteuse qui a filé tout droit dans les locaux du magazine pour y faire un passage plus que remarqué...

La photo montre une jeune femme submergée par l'émotion, les larmes aux yeux. C'est Diam's, lors des Victoires de la Musique, le 8 mars dernier. Cette photo, elle est en Une de Voici, le numéro daté du 17 au 23 mars. Et le titre est le suivant : "Diam's, grosse fatigue. Brisée, elle veut tout arrêter."

L'article qui l'accompagne, Diam's ne l'a pas lu. La vision de la couverture s'est avérée suffisante ; elle a provoqué une réaction incontrolée. Qui laissera quelques souvenirs impérissables au sein de la rédaction de l'hebdomadaire. Jugez-en plutôt...

Il est 10 H 50 environ, ce lundi. Diam's fait irruption dans les locaux du magazine Voici (Groupe Prisma Presse), passe derrière le comptoir, dans un état second, se rue sur le standard, l'explose à coups de poings. Les réceptionnistes sont paniquées, demandent l'intervention d'un membre de la rédaction pour contenir la jeune femme qui hurle : "Vous cassez ma carrière !".

C'est le chef des infos qui se dévoue, il arrive dans le hall. Le voilà accueilli par Diam's qui le colle au mur. Le rédacteur en chef, n'écoutant que son courage qui ne lui disait rien, se décide néanmoins à rejoindre les jouteurs. Quelques claques par ci, des coups de pieds par là, un coup de boule assorti de menaces lui font vite regretter cet élan de témérité : "Toi, maintenant, je connais ta tronche... je vais te retrouver !"

Mais que fait la police ?

Justement, elle arrive la police. En car, à vélo, c'est l'émeute.

"Je suis venue seule et sans garde du corps, je reviendrai" promet la chanteuse.

Une réunion se déroule bientôt dans les locaux de l'éditeur. Consigne est donnée "de ne pas ébruiter l'affaire." Il est annoncé qu'aucune plainte ne sera déposée, les dégats seront constatés par huissier.

Contacté dans le courant de l'après-midi, Philippe Labi, éditeur du titre, nous déclare :

"Il ne s'est rien passé. Pas de commentaire..."

Devant notre insistance polie, il précise :

"Bon, elle est fatiguée, énervée. C'est une chic fille, on l'aime bien."

Dommage, ce sentiment ne semble pas pour l'instant partagé...

Source www.purepeople.com